Parfois, à cheval, on est pris de flemingite aiguë et notre coté gros faignant dans certains cas n’arrange rien … par exemple, tu te mets en selle et tu te rends compte que tu as oublié tes gants … flemme de descendre, personne à portée de main pour les attraper pour toi, tant pis, tu te dis que tu feras sans … 1 heure plus tard c’est les doigts cloqués que tu rentres poupou à l’écurie !

Autre exemple, il fait chaud, tu enlèves ta veste que tu pends délicatement sur un chandelier, tu finis ton cours, tu rentres au boxe et bam tu te rends compte que ta veste est restée plantée au milieu de la carrière – flemme d’aller la chercher, tu la prendras au prochain cours ! Entre temps il se sera passé deux averses et une tempête de sable …

Dans la même lignée, il y a les éperons ! Une fois que tu les as sur tes bottes, flemme de les enlever, ils restent vissés à ton pied coute que coute !

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